Les jeunes ont peur de se faire attraper et renvoyer. Ils courent dès qu’il voit la police ou la Guardia civil se rapprocher d’eux. « Je préfère vivre dans la rue même si c’est difficile que de retourner chez moi au Maroc » dit un des jeunes.

© Paloma Laudet paloma.laudet@gmail.com
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