René 83 ans, vit à une centaine de mètres du nouveau camp d’Érythréens, établi à la suite du démantèlement de celui de la rue des mouettes, en juillet dernier. Les migrants ne lui posent pas de problème particulier. « J’ai quand même installé des barbelés sur mon portail, car il y a trente ans, ils m’ont volé des salades dans mon potager »

© Paloma Laudet paloma.laudet@gmail.com
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